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je commencerais par mettre une photo ... puis deux car jaime les associations, cette deuxième s’impose (elle appartient à Zénon mon premier site)... pour poursuivre le fil qu’est la vie - merci Camille - et les images en mouvement sub-alter-ne, mesurer le la longue respiration du large
... et puis relire et réécrire les papiers que l’on trouve sur les chemins - traces des errances pour autres filatures - à l’infini
F., dimanche 21 janvier 2007
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Messages
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Depuis le début de ce nouveau cycle il sentait sa substance se dissoudre. Il avait l’impression de comprendre ce que doit ressentir une étoile lorsque, son c'ur s’effondrant, elle laisse échapper ses photons dans le vide. Chaque jour un peu plus il devenait diaphane. Si rien ne se passait il finirait transparent. Injuste retour des choses quand il se rappelait les mots d’un tiède après-midi de jour de fête. Ne plus exister au fond de ses prunelles, ne plus exister au fil de ses lignes ; vertiges. Mais heureusement le vent s’était levé, faisant s’envoler en tourbillon tous les papiers noircis d’écritures maladroites. Le grillage en avait arrêté quelques uns, mais tous les autres s’étaient plaqués contre lui, donnant à son corps l’étrange consistance d’une momie de confettis.
par Boro, vendredi 2 février 2007
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