... traversée des voiles silencieux ...
cette nuit là j’ai écrit sur le papier de terre « brisure cassure solitude issue » et dans la rencontre le mouvement ... et le vert s’est ouvert ... un ciel de janvier « infini en nous »
finalement je me suis arrêtée juste pour boire le gris de Pouilly à cause de ce pont sur la Loire, si belle ardoise sur laquelle « je lui dirai les mots bleus », des ondes inutiles
terres immobiles et bruissements des lumières dans un instant fragile
F., dimanche 21 janvier 2007
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