ces replis du silence qui émergent du temps et qui font oublier les papiers écrits un instant, replis qui me transportent et amis qui prolongent mon regard et la surface de son corps s’étend dans le lointain, sa main relève tous les grains de la peau et peu à peu à travers quelques syllabes apparaît la profondeur de l’ombre
les photons de lumière me traversent encore dans mon désir de rencontre-extrême - je boirai toute cette eau de vie avec ou sans herbes
on m’a rapporté qu’enfin, souveraine, Héléna jouait, libre
F., dimanche 21 janvier 2007
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